Ludo-Corse
01/04/2013, 17h31
En ce jour de grâce de l’an 2013 j’ai rendez vous avec une somptueuse Italienne pour ses premiers tours de roues après une hibernation de 6 mois.
Comment va-t-elle me recevoir ? Comment va-t-elle se comporter ? Allons nous rentrer en communions ou va-t-elle me faire lourdement payer ce temps passé sur ses cales ? L’orientation prise ces derniers temps visant à mettre en avant le coté performance ne va-t-elle pas être à des années lumières de ce que je suis capable d’assumer ?
Mon italienne à du caractère à l’image d’une grande dame en talons aiguilles pleine de carissime elle ne se dompte pas aussi facilement que ça !
Autant de questions auxquelles je n’ai les réponses, la météo clémente m’incite à plonger intégralement dans le cuir des la première heure de la matinée pour résoudre ce dilemme.
Je suis excité mais j’ai peur, peur d’elle un peu comme au début car notre premier rendez vous avait été tumultueux …
Je suis face à elle, elle est face a la route plus qu’une chose à faire mettre contact…
Elle check m’informe que tout est ok j’appuie sur le contacteur magique et sans se faire attendre elle craque au quart de tour !
Je me permets de l’enfourcher lui demandant presque l’autorisation, je la sens chauffer, je monte en température avec elle …les 42° s’inscrivent en clignotant il est bientôt temps de saisir le PR19 CNC et d’engager le rapport !
60 ° c’est le moment du premier lâcher d’embrayage, elle part tout en douceur !
Nous descendons gentiment vers son 1 er vice : son Saint Emilion, que je lui offre pour la modique somme de 15 €.
Le réservoir est plein, prochaine étape la chauffe des pneus et des freins, la c’est la découverte car nouveau pneus et nouveau système freinage. Alors on zig zag, on roule frein légèrement appuyer puis quelques coup brutaux …ça réagit bien …
Parallèlement je trouve la boite d’une souplesse jouissive, je joue avec les rapports c’est un pur plaisir, l’agrément du maitre cylindre Brembo PR 19 est tout simplement époustouflant.
Les freins sont à présent à bonne température je décide d’attaquer une portion de route assez rapide que je connais bien à ce moment nous allons gentiment vers son 2 eme vice :
Quelques caisses se promène ça et la j’alterne la 3 et la 4 et soudainement le chemin apparaît devant moi, une « ouverture » : un coup de PR je descend la 2, je la monte à fond, j’enquille la 3 ça lève, 4 au REV ça lève encore dans une mélodie digne de déterré Bethoven !!! les premières courbes se profiles moment de première véritable prise en main du frein lui aussi en PR et la super sensation, j’avoue que je m’attendais à un truc beaucoup plus violent et bien non la encore superfeeling ! Ces maitres cylindres apportent un plus indéniables !
Les reprises sont époustouflantes, le moteur monte dans les tours avec une facilité déconcertante, je pose tout ce qui bouge et prend 200 en un claquement de doigt…les cornets « hrt » de Dario ,ma modif de boite à air et le 14x42 ont complètement changer ma moto , allons tester ça sur route plus sinueuse !
Apres les portions rapides je me dirige vers un mes cols préféré que je connais bien .
J’aime bien cette montée je passe vite les premiers virages mais un petit warning cérébral me rappelle que les SC2 sont neufs et encore bien amis avec la paraffine donc méfiance ce qui m’empêche pas de constater qu’ils se jettent facilement dans les changements d’angle.
Dans les petites épingles qui torture les mecs en 750 la 910 s’amuse …
Tu fais cirer en 2 jusqu'à 8000 trs et tu lâches, ça part direct sortit d’épingle effet catapulte
garantit !
Tu la change d’angle facilement, elle est très vive, les suspensions me sont parfaitement adaptés, je pose des freinages bien dosés et je m’amuse à faire travailler l’embrayage comme un petit black cireur de pompe …
Je suis arrivé en haut du col, forcer de constater que ça caille pas mal je m’arrête pour me réchauffer et faire le tour du missile pour voir si rien d’anormal …je pose mes mains sur le moteur, c’est très agréable de se faire réchauffer par une italienne.
Le retour au garage se fait par des portions roulantes j’alterne grosses accélérations et gros freinages ce n’est pas vraiment de l’attaque je joue à me faire balancer les boyaux…les sensations physiques sur une italienne « qui marche » sont très intenses.
J’ai maintenant réponse à mes questions, après 150 kms elle me correspond à 2000 pourcent, je suis ravi de cette nouvelle préparation et elle aussi, elle me l’a démontré aujourd’hui…
Comment va-t-elle me recevoir ? Comment va-t-elle se comporter ? Allons nous rentrer en communions ou va-t-elle me faire lourdement payer ce temps passé sur ses cales ? L’orientation prise ces derniers temps visant à mettre en avant le coté performance ne va-t-elle pas être à des années lumières de ce que je suis capable d’assumer ?
Mon italienne à du caractère à l’image d’une grande dame en talons aiguilles pleine de carissime elle ne se dompte pas aussi facilement que ça !
Autant de questions auxquelles je n’ai les réponses, la météo clémente m’incite à plonger intégralement dans le cuir des la première heure de la matinée pour résoudre ce dilemme.
Je suis excité mais j’ai peur, peur d’elle un peu comme au début car notre premier rendez vous avait été tumultueux …
Je suis face à elle, elle est face a la route plus qu’une chose à faire mettre contact…
Elle check m’informe que tout est ok j’appuie sur le contacteur magique et sans se faire attendre elle craque au quart de tour !
Je me permets de l’enfourcher lui demandant presque l’autorisation, je la sens chauffer, je monte en température avec elle …les 42° s’inscrivent en clignotant il est bientôt temps de saisir le PR19 CNC et d’engager le rapport !
60 ° c’est le moment du premier lâcher d’embrayage, elle part tout en douceur !
Nous descendons gentiment vers son 1 er vice : son Saint Emilion, que je lui offre pour la modique somme de 15 €.
Le réservoir est plein, prochaine étape la chauffe des pneus et des freins, la c’est la découverte car nouveau pneus et nouveau système freinage. Alors on zig zag, on roule frein légèrement appuyer puis quelques coup brutaux …ça réagit bien …
Parallèlement je trouve la boite d’une souplesse jouissive, je joue avec les rapports c’est un pur plaisir, l’agrément du maitre cylindre Brembo PR 19 est tout simplement époustouflant.
Les freins sont à présent à bonne température je décide d’attaquer une portion de route assez rapide que je connais bien à ce moment nous allons gentiment vers son 2 eme vice :
Quelques caisses se promène ça et la j’alterne la 3 et la 4 et soudainement le chemin apparaît devant moi, une « ouverture » : un coup de PR je descend la 2, je la monte à fond, j’enquille la 3 ça lève, 4 au REV ça lève encore dans une mélodie digne de déterré Bethoven !!! les premières courbes se profiles moment de première véritable prise en main du frein lui aussi en PR et la super sensation, j’avoue que je m’attendais à un truc beaucoup plus violent et bien non la encore superfeeling ! Ces maitres cylindres apportent un plus indéniables !
Les reprises sont époustouflantes, le moteur monte dans les tours avec une facilité déconcertante, je pose tout ce qui bouge et prend 200 en un claquement de doigt…les cornets « hrt » de Dario ,ma modif de boite à air et le 14x42 ont complètement changer ma moto , allons tester ça sur route plus sinueuse !
Apres les portions rapides je me dirige vers un mes cols préféré que je connais bien .
J’aime bien cette montée je passe vite les premiers virages mais un petit warning cérébral me rappelle que les SC2 sont neufs et encore bien amis avec la paraffine donc méfiance ce qui m’empêche pas de constater qu’ils se jettent facilement dans les changements d’angle.
Dans les petites épingles qui torture les mecs en 750 la 910 s’amuse …
Tu fais cirer en 2 jusqu'à 8000 trs et tu lâches, ça part direct sortit d’épingle effet catapulte
garantit !
Tu la change d’angle facilement, elle est très vive, les suspensions me sont parfaitement adaptés, je pose des freinages bien dosés et je m’amuse à faire travailler l’embrayage comme un petit black cireur de pompe …
Je suis arrivé en haut du col, forcer de constater que ça caille pas mal je m’arrête pour me réchauffer et faire le tour du missile pour voir si rien d’anormal …je pose mes mains sur le moteur, c’est très agréable de se faire réchauffer par une italienne.
Le retour au garage se fait par des portions roulantes j’alterne grosses accélérations et gros freinages ce n’est pas vraiment de l’attaque je joue à me faire balancer les boyaux…les sensations physiques sur une italienne « qui marche » sont très intenses.
J’ai maintenant réponse à mes questions, après 150 kms elle me correspond à 2000 pourcent, je suis ravi de cette nouvelle préparation et elle aussi, elle me l’a démontré aujourd’hui…