Oui, moi aussi j'ai été très peiné de la disparition de Francesco. Présent sur de nombreuses bourses, toujours très aimable, c'était un plaisir de le retrouver sur son stand deux fois par an (aux Coupes ou au parc Floral) en présence d'Annalisa.
Qui n'a jamais entendu ses fameux mégaphones n'a jamais approché une piste d'anciennes. Grace à lui nos italiennes (et pas que) chantaient haut et fort. Et j'espère que ces échos rappelleront longtemps tout ce qu'il a pu faire pour la moto ancienne de piste.
Philippe
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