Bonjour à tous,
Aujourd'hui j'ai juste envie de pousser un petit coup de gueule...
Je m'explique :
Le 20 janvier, je valide une commande pour une brutale 800 RR, chèque d'acompte etc... Date prévue pour la livraison: fin février.
Arrive fin février, j'appelle mon concessionnaire qui m'annonce un retard dans la production, suite entre autres aux inondations de l'usine en début d'année, puis aux impondérables. Il m'annonce alors un report pour mi-avril (ne te découvre pas d'un fil).
Bref, jusque là, c'est pas grave, je me rassure en me disant qu'on est encore en hiver, bien que la météo soit plutôt très clémente et que mon rodage aurait bien avancé (et la moto aussi) en cette période.
Arrive mi-avril, appel de mon concessionnaire préféré, qui m'annonce finalement une mise en production de ma moto la semaine suivante, soit 3ème semaine d'avril, pour une livraison fin avril après un départ de Varese entre le 23 et le 26.
Arrive fin avril (déjà ?!), soit hier, j'appelle mon concessionnaire (toujours préféré pour le moment) qui m'annonce être toujours en attente (pas quechua
) de sa livraison avec ma moto parmis 6 autres. Il parait au moins autant emmerdé que moi, et s'engage à appeler le responsable France de MV, M Remy Hasser en personne
. Il me rappelle hier soir, et m'explique qu'ils n'arrivent pas à joindre Varese (tiens ? Il y a aussi un week-end du 1er mai en Italie ??), il confirme que la moto aurait dû partir la semaine passée mais que... Maaaa kééé cé pas normal !
Mon petit concessionnaire me dit qu'il tentera d'obtenir des réponses mardi 5 mai (euh ?? 2015?), et me tiens au courant...
Bref, à ce jour je me demande si le mot 'délai' fait parti du vocabulaire italien. Je suis peut-être un peu naïf (oui
) mais j'ose encore croire que mon concessionnaire n'y peut pas grand chose vu qu'il ne la fabrique pas avec ses petites mains, et que le but de nos dealers ça reste quand-même de vendre leur came (lote)...
Et dire que j'ai failli commander une béhème S1000r (si si...) dont la concession est (elle) à deux pas de chez moi, et bien je me dis que je suis (un peu) maso, mais ça c'était avant.
Voilà voilà, c'est mon coup de gueule du jour, j'espère qu'elle finira pas trouver le chemin semé d'embûches (de séquoias !) pour franchir les alpes. Cette espèce de Brutale semble être un modèle rare (m'en vu un tel bordel), car en cherchant un peu, j'en trouve deux aux fin fond de la Loire-Atlantique, pas simple pour faire sa révision le mardi matin.
Allé, bon week-end à tous et (j'espère) à très bientôt (ou tard, elle finira par arriver).
Sylvain